Transcriptions écrites
Le 15 août 2002
Mes enfants, Mes enfants, je vous demande en ces temps de venir auprès de mon Fils afin qu’Il vous soulage de vos maux et de ceux de la terre. Cette terre que l’homme dégrade chaque jour un peu plus et qui réagit avec ses propres moyens. Ceux-ci pourraient devenir encore plus dévastateurs si l’homme n’y prend garde et ne soulage celle-ci de l’emprise du béton, l’homme tue la quintessence même de son univers. Le Père apporte tout spécialement en ce jour Sa Bénédiction pour la femme, emblème de la nature humaine. Elle est le soutien des populations et de leur avenir ; elle est mère avant tout et procréatrice de la famille. Elle est aussi le lien de stabilité d’un foyer. Mais, en ces temps, la femme dérive et omet de réaliser son rôle de mère et de médiatrice. La facilité et l’excès la rapprochent du Malin, sa sensibilité et son amour sont ternis par son manque de foi et le refus de poursuivre le combat pour l’unité. Le Père, dans Sa grande Mansuétude, accorde souvent Son Pardon et les accompagne par l’Esprit Saint au retour sur le droit chemin. J’apporte ma contribution par la prière incessante à cette réalisation. Mes enfants, il vous faut prier sans cesse afin de garder l’esprit de mon Fils en vous et en Sa compagnie, l’avenir vous sourira et vous pourrez ainsi évoluer dans la béatitude et dans la foi. Mes enfants, priez, priez, priez. Dans peu de temps, vous aurez une bonne nouvelle concernant ma Demeure. Et surtout, n’oubliez pas qu’il faudra coopérer avec ceux qui ont jeté le discrédit sur vous et qui n’ont pas de foi en cet avenir. Mes enfants, gardez la foi et avancez avec confiance vers cette réalisation Divine. Mes enfants, nous sommes toujours présents à vos côtés, ne détournez pas le regard dans votre souffrance et votre attente, mais au contraire souriez et vivez dans l’esprit de Dieu le Père. Le Père apporte Sa Bénédiction à tous Ses enfants. Mes enfants, je vous laisse afin de poursuivre mon devoir de mère et celui de médiatrice entre vous et le Père Céleste. Je suis servante du Seigneur et digne de cette très grande tâche qui m’a été confiée. Merci de me lire. Marie Mère des hommes.